Les Dadascopes proposent à leurs utilisateurs de vivre des expériences singulières et sensibles
d’un paysage, d’une architecture ou d’une exposition et de les traduire par le dessin, le texte.
Réalisés en bois, ils sont à l’échelle du corps, simples et potentiellement complexes dans leur
utilisation. Ils permettent d’aborder les notions essentielles à la construction d’une
image (cadrage, zoom, point de vue, hors champ) tout en proposant des approches sensorielles
inattendues et transversales (dessiner en marchant, observer deux points de vues simultanément,
se perdre dans le détail, écouter un paysage ou une architecture...).
Tout en faisant spectacle, les Dadascopes provoquent chez leurs utilisateurs une rare acuité,
expérimentale et joyeuse.
Ce dispositif a été développé avec l'aide d'une classe d'enfants atteints de surdité, encadrée par l'AFDA (Association Finistérienne pour Déficients Auditifs).
Chaque dispositif est la synthèse d’atelier mené par les artistes invités ayant permis la définition d’un cahier des charges
empreint de leur univers respectif : Edouard Le boulc’h, Julien Desprez, Anna Principault.
Ce dispositif a été développé avec l'aide d'une classe d'enfants atteints de surdité, encadrée par l'AFDA (Association Finistérienne pour Déficients Auditifs). Chaque dispositif est la synthèse d’atelier mené par les artistes invités ayant permis la définition d’un cahier des charges empreint de leur univers respectif : Edouard Le boulc’h, Julien Desprez, Anna Principault.
LES DADASCOPES
- Type : Dispositif de médiation
- Année : 2019
- Dimensions et technique : Variable
- Contributions : Les enseignants et élèves de l’école de La pointe, Brest
- Collaboration : Thibault Brébant
- Support :
- Diffusion : Programme Production collaborative et de Prêt POP du PREAC A retrouver → ICI ←
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- Et si le sol était une partition?
- Tout mon corps serait une oreille !
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Marelle est une assise et un support d’expression pour le groupe. Elle se déploie dans la classe ou dans la cour de récréation pour proposer de se mettre en scène
Marelle
- Type : Assise
- Année : 2019
- Dimensions et technique : Bois laqué
- Cadre : Exposition Une pluie d’été - Médiathèque des Capucins, Brest
Marelle lors de l’exposition
Une pluie d’été à la médiathèque François Mitterand, Brest atelier chorégraphique Lina Schlageter
Une pluie d’été à la médiathèque François Mitterand, Brest atelier chorégraphique Lina Schlageter
Marelle dans la cour de récréation de l’école de la Providence, Brest
Une forêt se déploie et se replie pour envahir un espace et le transformer temporairement. Les portants en bois permettent d’exposer des objets, des œuvres, des affiches, des costumes ou de signifier des passages, une progression lors d’un jeu ou d’une séquence pédagogique à inventer.
Une forêt sait aussi se faire discrète, elle se ploie alors sur elle-même comme un couteau suisse. Les portants s'emboîtent et se déboitent tout simplement pour faciliter le démontage et le transport.
Une forêt au CAC Passerelle Brest
Photo Aurélien Mole
Photo Aurélien Mole
DESSINER ET RENVERSER LE MONDE est
un outils de médiation artistique itinérants. Il permet d’aborder les notions essentielles à la construction d’une image (cadrage, zoom, point de vue, hors champ) tout en proposant des approches sensorielles inattendues et transversales (dessiner en marchant, se perdre dans le détail, percevoir seulement les masses).
Ce dispositif a été développé avec l’aide d’une classe d’enfants atteints de surdité, encadrée par l’AFDA (Association Finistérienne pour Déficients Auditifs).
Différents moments de captation de traces
Halle de la courrouze, biennalle d’art contemporain de Rennes, 2018.
Cac Passerelle de Brest, 2018.
Plateaux des capucins à Brest, 2020.
Déambulation avec lentille de fresnel.